Bonjour mes chats.
Aujourd’hui, on se retrouve pour un article où je vous parle de mes deux premiers jours de cours. Alors, c’est parti !
17/09/2018: Premier jour.
Ce matin, je me lève 6h, la nuit fut courte vu que je me suis endormie vers 00h00, et que je me suis reveillée à plusieurs reprises.
Je déjeune, j’enfile rapidement mes vêtements du jour. (Que je porterai aussi demain ;)). Chéri se réveille doucement et vient fumer une cigarette avec moi, et il est déjà temps de partir.
De chez lui, je n’ai que 20/25minutes de routes. Mais mon dieu, il fait 6°C, j’ai cru mourir, je n’étais pas préparée à cette température.
J’arrive sur le parking à 07h40 ; heureusement, il n’y avait pas trop de circulation, et j’ai pris l’une des deux dernières places. J’attend un peu dans ma voiture, j’en profite pour fumer une cigarette à mon aise avant de me rendre en cours.
8h30: Me voilà au dernier étage et à mon premier cours de la journée, et surtout de la semaine: Psychologie 2.
Le prof vient à nous et se présente, en plus de trente minutes quand même. Il a l’air gentil, et surtout, dire « putain » ne le dérange pas. Super monsieur, vous voilà dans mon top 3! Ensuite, il nous lance dans le vif du sujet, et on commence par les adolescents et les enfants. Je trouve ça terriblement intéressant, sans oublier qu’il n’hésite pas à nous donner des exemples qu’il a pu rencontrer en tant que psy.
Dans ce cours, il n’y a pas de syllabus, donc ce n’est que de la prise de note, et j’avoue que j’ai rapidement été perdue: Je n’ai pas l’habitude de cette façon de faire. Je vais l’apprendre, même si ça me semble un peu difficile, surtout, je ne sais jamais ce qui est important ou non… Oui, tout ne tourne pas rond chez moi!
10h30: On change de classe et on se retrouve en MSH: Méthodes des sciences humains et statistiques. Juste au nom du cours, vous m’avez déjà perdu.
Et malheureusement, je n’ai eu que des désillusions tout au long de ce cours. 1. Si on ne connaît pas nos formules, ça ne serre à rien de venir à l’examen. Mdr, on est déjà mal parti. Ensuite, ça part sur les synthèses: On devra former des groupes, et faire les synthèses au fur et à mesure pour toute la classe.
JE DIS NON! Je pars du principe qu’on a tous notre manière à nous d’apprendre et d’étudier, et là, avec cette connerie, ils vont me perdre. Déjà, devoir m’imposer dans un groupe? No way. Sans oublier que tout ce qui leur semblera logique ne le sera pas pour moi. J’ai un retard d’apprentissage, mais visiblement, on met tout le monde dans le même lot. Donc, déjà pour les synthèses, en plus de bosser pour les autres, je vais devoir tout refaire pour moi. Double travail… Super.
Ensuite, elle nous explique comment fonctionne son cours, j’avoue que j’émets quelques réserves. En réalité, elle ne va pas nous faire cours. Je vous explique: On va devoir lire le cours en amont, faire les exercices. En cours, elle va juste corriger oralement et répondre à quelques questions parce que je cite: « je ne suis pas là pour vous faire la lecture » mais… ok. J’avoue que ça me perturbe un peu.
Elle a essayé de nous démontrer par a+b que les statistiques et les méthodes de sciences humaines sont très importantes dans le social. (Pour rappel, je fais des études d’assistantes sociales) malheureusement, je ne suis toujours pas convaincue.
Ma fois, comme elle le dit, on n’a ce cours que le premier quadri, après janvier nous ne l’aurons plus. Il faut que je tienne le coup, que je m’y tienne, et si je réussis en janvier, je n’en entendrais plus parler!
A présent, je suis à la maison: J’ai remis au propre mes notes de psycho, j’ai imprimé la diapo qu’on doit découvrir pour demain. J’ai écris déjà tout ceci, et il ne me reste plus qu’à lire de la page 1 à 19, le livre sur la méthode des sciences humaines! Parce que oui, je l’ai encore demain, sinon ça ne serait pas drôle voyons…
Alors, à demain, pour une journée encore plus intéressante!
18/09/2018: Le jour de la remise en question.
5h, le réveil sonne, je sors tant bien que mal de mon lit. Je prépare mon petit déjeuner, une tartine de nutella avec une nectarine, et je prépare mon dîner: Deux tranches de pains à la vache qui rit et quelques raisins.
Je mange, je m’habille, je maquille rapidement mes yeux et il est déjà l’heure de partir.
6h50 ; je prend la direction de namur, j’arrive à 7h45. Oh miracle, je trouve directement une place. Ça ne fait que trois heures que je suis réveillée, mais je suis déjà sur les rotules (j’ai été dormir à 22h… choses anormal pour moi) Mon corps me fait mal, mon ventre, ma tête, mon corps m’envoie des signes peu sympathique, bref, ça va être long.
A 8h45 ; je me retrouve dans la fac de chimie, même si j’ai eu du mal à trouver, et je me retrouve dans l’auditoire, je me dirige vers P. qui me snobe à moitié. Bon, ok, message reçu. Le séminaire commence, un séminaire sur la société, le social en général. Ça m’a plus, je ne peux pas dire le contraire.
10h30 ; Je déchante. On se retrouve en petit groupe de 20, et ça vire au cauchemars. On est obligé de se mettre par groupe. Devinez, qui a été mise sur le côté telle la peste? It’s me. Bref, rien ne change. Et là, on apprend que pour les stages nous seront des groupes de six, que la majorité devra choisir une ville, et nous pourrons faire notre stage que là. (Pardon?) Nos jours de congés, on les oublie: Lors de nos congés, nous devons nous réunir et nous rendre dans la ville choisit pour la visiter, rencontrer des gens du milieu social etc. It’s a fucking joke? Ensuite, la majorité va choisir le secteur de stage par exemple: immigration, santé, prison… Et, donc, on sera obligé d’y aller, mais non seulement obliger, mais en plus… à deux. Depuis quand, on fait des stages à plusieurs? No way. Ensuite, nous devrons rendre des rapports: sur le groupe de six (donc si l’un merde, on merde tous), sur le groupe de deux, puis solo. Non mais… tuez moi bordel!
Tout ce que je déteste, réunis en un truc qu’on va avoir très souvent. Je ne suis que joie.
12h30; c’est la pause, je rejoins E. que j’ai rencontré entre les cours, on va se poser pour manger et discuter.
13h30; retour en cours, et en… MSH (Méthodologie des sciences humains) et là, en quelques minutes, elle m’a perdu, elle est rentrée dans des termes très compliqués, et mon cerveau n’a pas compris. Tout le monde à l’air de comprendre, sauf moi, pour pas changer… Et comme par hasard, elle nous met en groupe. J’ai rapidement saoulé mes camarades parce que, je n’avais aucune réponse, et surtout, aucune compréhension du sujet, je ne comprenais rien. Même venant d’eux.
15h30 ; cours que nous n’avons pas encore eu: Histoire social et politique contemporaine. De l’histoire, je n’aime guère ça. Le cours me semble long, elle nous annonce que l’examen sera un examen oral. Allez, continuons dans la descente aux enfers voyons… Heureusement, elle nous libère à 17h15. Je fonce à ma voiture, je reprend la route vers chez moi.
Tout le long, je sens mon corps qui va me lâcher, j’ai les larmes aux yeux, mon moral au plus bas. J’ai juste envie d’aller sous ma couette pleurer, je n’en peux plus.
Bilan de ces deux jours: Je ne sais plus si je veux continuer ou non. Puis-je supporter ce mal être mental pendant plusieurs années? Sentir mon corps se serré pendant plusieurs heures à chaque fois qu’on est en groupe, être à des cours que je ne comprends absolument pas, même avec toute la bonne volonté du monde? Sans oublier, que je me lève à 5h ; je rentre à 19h… J’ai le temps de manger, prendre ma douche, et il est déjà temps d’aller se coucher. Ma maladie me ronge, et approche, je la sens. Mon corps m’envoie des sos, me demande de calmer se rythme qu’il ne supporte pas, qui le brise. A l’heure actuelle des choses, je sais que si je vais en cours, c’est pour l’argent que je gagne. Je me suis peut-être lancée dans quelques choses de trop lourd, avec mes problèmes d’apprentissage et d’adaptation, trop lourd en cours et en horaire, pour mon corps et ma maladie. Je ne sais pas si je vais tenir encore plusieurs semaines, autant se l’avouer. Je vais prendre contact avec mon psychologue, vu que demain, j’ai 3h où je fou strictement rien, en plein milieu de la journée (la joie.)
Je vais prendre le temps de réfléchir, de me poser, et adviendra ce qui pourra…
Voilà, j’espère que cet article vous aura plus, n’hésitez pas à me laisser votre expérience en commentaire, vous le savez, comme toujours, ici on partage un maximum! ♥
Sur ce, je vous dis à bientôt pour un nouvel article, prenez soin de vous.
Je vous invite à présent à:
- Aimer ou commenter l’article s’il vous a plu, car ça fait toujours plaisir et j’adore prendre le temps de vous lire et vous répondre.
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Kiss kiss.
Mioou.
Bonjour je suis désolée de lire que tu n’es pas certaine de pouvoir et vouloir continuer. Il est vrai que la fac c’est particulier. Je n’ai tenu qu’ une année. En statistique s’était pareil pour moi je ne comprenais rien mais heureusement pour moi il n’y avait pas de groupe. Dis-toi que pour les groupes c’est une façon de t’adapter quand tu seras assistante sociale tu devras aussi t’adapter à un public différent. Il faudrait aussi que tu essayes
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Hello! Merci de ton commentaire, les groupes, c’est très compliqué pour moi, car j’ai été harcelée, par des élèves de leur âge. Et par des professeurs. Hors, j’ai déjà travaillé en tant qu’assistante sociale, jamais tu ne dois faire des travaux de groupe. Il y a toi, et la personne que tu vas accompagner, voire son compagnon/compagne, mais c’est tout…
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Que tu essayes de contrer tes pensées négatives en les remplaçant par des pensées motivantes et positives, tu dois avoir confiance en toi tout le monde n’arrive pas jusqu’à là déjà. Courage, tu vas y arriver ! Personnellement je me suis réorienter vers un bts après l’année de fac mais on te place où il reste des places alors c’est pas mieux. Crois en toi bisous
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J’essaye tant bien que mal de m’accrocher, on verra bien pour la suite de toute façon, je n’ai pas le choix! Bisous!
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Hello ma belle,
Je n’ai jamais vécu autant de mal être mais courage ma belle! Tu as raison pose toi,réfléchis bien mais surtout ne prends pas de décision trop hâtive 😘
Si pour ton corps et ton moral, tu dois arrêter, tu arrêteras… peut être que tu pourras faire un semestre 0 et trouver une école qui te permet de faire les mêmes études, que tu peux reprendre en Janvier et où tu te sens mieux. Malheureusement les travaux de groupe, il y en aura toujours dans tout type d’études (Enfin la plupart), je sais que je n’y ai jamais échappé mais vu les études que j’avais fait, il fallait mieux nous entraîner.
Je sais que ce sera dur mais réfléchis aussi à ce qui te rend heureuse pour avoir pris la décision de faire ce métier, peut être que ça t’aidera à voir le bon côté des choses !
Des bisous
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Hello ma belle,
merci de ton commentaire!
Effectivement, peu de gens ont vécu ce mal être, parce que peu de gens, on vécu ce que j’ai vécu avec un telle intensité, je dirai.
J’ai déjà travaillé en tant que AS, et jamais tu n’as des groupes, qu’on se le dise. C’est la personne que tu accompagnes, et toi. Personne d’autre… Donc leur truc de groupe, jai du mal à m’y faire et surtout, ça ne me ressemble pas…
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on ne t avait pas présenté tout ça lors de l inscription ? tu aurais pu t y préparer un minimum 😉 il faut peut être passer le cap des premiers jours, tu vas faire connaissance avec les autres et apprendre à travailler avec eux, et eux avec toi ? explique peut être à ton groupe tes difficultés, ils seront peut être plus compréhensifs ( et s ils veulent travailler dans le social j ai envie de te dire, ça vaut mieux pour eux 😉 ) quand j étais arrivée en bts j étais aussi submergée par toutes ces infos, la masse de travail qui m attendait , des cours ou je comprenais rien non plus, et en plus ils avaient fait les groupes pendant que je n étais pas là bref je te souhaite bon courage et accroche toi !
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Non, on m’avait dit qu’il y aurait PEUT-ÊTRE un travail de groupe pour les stages, mais que ce n’était pas sûr. Finalement, je me retrouve avec 6 cours où ce n’est que du travail de groupe… C’est fatiguant, et angoissant…. On verra ce que l’avenir me réserve! Bisous.
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courage, ce sont les premières semaines les plus difficiles, et dis-toi bien dans ta tête que tu es maîtresse de tes choix……. que personne ne peut t’obliger…. et du coup tu te sentiras moins oppressée et plus légère. Vois un hypnothérapeute pour le « lâcher prise » si ça dure trop dans le temps. Et laisse tomber le nutella (il existe des versions sans huile de palme similaires) et la cigarette qui ne calmera pas ta nervosité 😀
Bon, je sens que mon post ne va pas te ravir 🙂 mais tiens bon ! j’en parle à mon aise je n’ai pas suivi de fac j’ai bifurqué vers un bts. Mais mon fils a fait deux ans de prépa et LA c’est galère !
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Hello, merci pour ton commentaire, (ça va, il me ravit quand même!) J’essaye de me dire ça, mais je sais aussi que si c’est une obligation de l’école, je n’ai pas le choix! Pour le nutella… je sais. J’ai acheté du nutella sans huile de palme, mais j’ai vécu dans la pauvreté, et pour moi, jeter quelques choses c’est inacceptable, donc, je vais le finir avant d’entamer l’autre! ^^
J’avoue ne pas savoir la différence entre un bac et un bts, mais je me doute que c’est bien galère pour ton fils! 🙂
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le BTS (Brevet de Technicien Supérieur) est à Bac+2. J’ai passé un BTS de Secrétariat de direction trilingue (anglais – espagnol – français) avec sténo anglaise. A l’époque dans les années 1970 c’était un super niveau de secrétariat. Comme pour la fac il te fallait le bac (littéraire pour moi) pour t’inscrire en BTS
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courage tu vas t’ habituer du moins je l’ éspére
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Dans le monde professionnel (la vraie vie, quoi), tu ne travailleras pas seule, surtout dans le social. Alors profite de ton stage pour apprendre à travailler en équipe. L’école est faite pour se former aux méthodes du monde professionnel. C’est normal que tu appréhendes car tu n’es pas habituée, mais je le répète : Tu travailleras avec d’autres personnes dans ce métier. Adapte-toi pour réussir. Tu peux le faire. 😉
Bises et bon courage.
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Merci beaucoup pour ton commentaire. 🙂
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n’ayant jamais fait d’études à la fac je ne sais quoi te dire si ce n’est courage ♥
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Merci beaucoup. ♥
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Je trouve que ta prof qui vous dit de bosser à la maison, et corriger en classe, elle a trouvé le bon filon pour gagner de l’argent sans en foutre une… lol , je rigole, mais moi je sais que les profs ne servent à rien.
J’ai voulu reprendre mes études une années, en droit, par correspondance car j’avais des enfants, les cours m’ont passionné, mais le jour de l’examen, j’ai demandé à des profs à l’oral comment ça s’était passé , les profs me disaient « c’est pas mal » et je me suis retrouvé avec des notes entre 6 et 7… pour un c’est pas mal, quelle hypocrisie, en plus des choses où j’avais bien répondu, j’ai rien compris…
A contrario, j’avais pas appris l’économie, j’y comprenais que dalle, comme toi à ton cour, mais rien, même avec la meilleure volonté, c’était pire que du chinois…
Je l’ai passé, sachant pertinemment que je serait au rattrapage, le prof m’a posé des questions, impossible d’y répondre, il poser les question et y répondait car il voyait que je ne pouvais pas répondre, bon j’ai appris beaucoup lol, à la fin, il me dit « 12 » et moi « 12 quoi » et il me dit « c’est votre note, je me souviens être sorti et avoir était mais super contente… quand j’ai eut les résultat j’avais eut 14 en économie… 14… alors comment te dire… je n’ai même pas ouvert cette leçon, le livre que j’avais acheté je l’ai pas ouvert je n’y comprenais que dalle, et j’ai eut un 14…
J’ai arrêter après avoir reçu mes résultats, des profs qui se permettent de me juger sur la tête, c’est pour moi d’une hypocrisie, puis il faut bien se mettre à l’évidence, les cours ne servent à rien sauf à avoir un diplome, y a que les stage qui vont t’aider à avancer, les cours ça sert à rien, mais si toi tu veux en faire ton métier… ça va être dur…
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Hello!
Je suis tellement d’accord, sans compter que c’est une prof qui est incompréhensible, tu vois? Elle s’excuse en disant qu’elle va changer son cours pour qu’on comprenne, mais ce n’est pas le cas…
Je connais totalement ça, les profs qui jugent sur ta tête, et d’autre qui n’en ont rien à foutre et te laisse passer comme si de rien était… Malheureusement, c’est de plus en plus, c’est triste pour les prochaines générations…
Oui, je veux en faire mon métier, c’est ça qui est difficile, car si j’abandonne, je pourrais jamais faire ce travail..
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Tu t’es pas renseigner pour des formations à distance? ou pour essayer de le passer en validation des acquis? , je sais pas essayer de trouver une autre solution pour y arriver sans que ton moral et ton mental en patisse.
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Oh bah dis donc, je viens de lire tes trois derniers articles sur ton école.. Tiens bon et pense à la raison qui t’as fais aller dans cette école, pense à l’avenir que tu veux après cette école. Je ne connais pas trop ton parcours, je viens de découvrir ton blog, mais je te souhaite de réussir dans ce que tu désires.
Je t’embrasse, Joha.
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Je te’comprends, je n’ai jamais été fan non plus des travaux d’egroupe.
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* De groupe
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